La deuxième étape de notre périple pyrénéen, annoncée comme une étape de transition comporte néanmoins 3 cols à savoir le Col de Port, le Col de la Core et le Portet d'Aspet qui aura marqué l'histoire du tour de France à de nombreuses reprises. Le soleil et la chaleur de la première étape ont disparus laissant place à la flotte et au froid. Ce n'est pas toujours un plaisir mais on arrive malgré tout à en profiter. Aujourd'hui, ce sera vestes longues, sur-chaussures et vestes de pluie ! Il va falloir jongler entre vêtements mouillés et vêtements secs. Une savante organisation pour chacun dans l'utilisation des bouches de ventilation du camion d'assistance !
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Nous logions à Ax-les-Thermes après la première étape, légèrement en contre-bas du départ donc nous remontons un peu la vallée jusqu'à croiser le peloton.
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C'est parti : les tenues de pluie sont de sortie !
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Solène, l'Auvergnate de DDEAV garde le sourire en toutes circonstance.
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Les cols se passent presque dans le brouillard... où en tout cas le plafond est très bas ! |
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Traversée de Seix au pied du Col de la Core, aujourd'hui pas de "Seix on the Beach"
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Une dizaine de degrés au sommet mais Marie et Anna gardent le sourire.
| On se caille au sommet donc on plonge dans la descente et on fait une pause en bas pour se changer, se réchauffer un peu et manger un morceau.
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Notre ami Christian, toujours au top avait prévu le café. |
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Une petite accalmie de la pluie nous ravi et nous fait du bien ! |
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A l'entrée de Portet d'Aspet le plafond redevient bien bas... L'accalmie aura été de courte durée. |
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La descente, c'est sur des œufs : la route est détrempée et un véhicule a déversé du gasoil dans toute la descente...
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Le virage "Philippe Gilbert" du 25 Juillet 2018 !
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On sent une certaine appréhension... |
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La stèle de Fabio Casarteli, décédé dans cette descente le 18 Juillet 1995 lors de la 15ème étape entre Saint-Girons - Cauterets. |
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La photo de famille devant le monument. Ceci nous rappelle que notre sport n'est pas danger et remet un peu d'humilité en chacun de nous. |
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Tant que nous sommes dans la mémoire... |
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L'assistance avec notre Christian protecteur ! |
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Nous fêtons l'arrivée à Saint-Gaudens, signe que cette journée à laisser des traces à tout le monde. |
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L'arrivée est jugée au sommet d'une bonne bosse d'un kilomètre environ. |
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La zone technique prend forme pour le lendemain. |
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Il flotte toujours, on se change rapidement et on prend la route de Muret où l'on passera la nuit. |
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Conduire toute la journée est aussi très fatigant alors lorsque l'on est dans le camion on relaye Christian pour qu'il se repose ... et en général, il ne peine pas à trouver le sommeil !! |
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Pourvu que ça sèche pour demain, car il y a la troisième étape : vive le mode "Romanichel" |
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